Le Code Québec

Éric Bédard

Associé et directeur du bureau d’avocats Fasken, au Québec

« La connaissance du public, c’est important pour tout le monde. La connaissance du milieu, les motivations des entrepreneurs, des acteurs économiques. L’introspection, c’est utile. Tout ça va nous aider à nous comprendre nous-mêmes. Même pour les avocats, c’est essentiel parce que toute entreprise de services se doit de comprendre le monde ! Et de faire des liens. On est ancré dans le public. Et puis, ce que j’apprécie, c’est de lire sur les Québécois. Je le lis par passion pour les Québécois. »

Code Québec

Ils ont dit...

Quelques dirigeants d’entreprises rencontrés au lancement du Code Québec, livre cosigné par le sondeur Jean-Marc Léger, l’ex-journaliste Pierre Duhamel et le professeur de marketing Jacques Nantel sur la spécificité des citoyens et des consommateurs québécois...

Gaétan Morin, président et chef de la direction du Fonds de solidarité

« Tous les Québécois vont se reconnaître, mais aussi apprendre sur eux-mêmes, et ce livre va aider les entrepreneurs qui ont la volonté de croître. Ça prend des assises pour aller plus loin, pour découvrir nos forces et miser sur nos forces, que ce soit pour avancer en affaires, mais aussi en politique ou dans le monde de la culture. Je trouve que lire et apprendre tout cela est fabuleux. Qu’est-ce qui m’a surpris ? J’aurais cru qu’on s’identifiait plus à la culture française. »

Dominique Villeneuve, présidente et directrice générale de l’Association des agences de communication créative

« Jamais on ne s’était repenché avec autant de profondeur sur les cordes sensibles des Québécois. Le fameux livre de Jacques Bouchard datait de 1978 ! Et il était basé à l’époque sur l’intuition, l’expérience, et il parlait de facteurs comme notre lien avec la religion. Tout a tellement changé ! Donc ce nouvel ouvrage est une lecture hyper intéressante pour les gens de politique et de publicité, et clairement un nouvel outil pour créer des campagnes adaptées au marché ici, même si c’est un portrait parfois confrontant. »

Gabriel Montagne, directeur général des médias numériques chez Pages Jaunes

« On doit comprendre nos auditoires, il faut cibler le consommateur, et là, on a de nouvelles pistes, chiffrées, des données pour comprendre à qui on s’adresse. Ce qui m’a frappé ? De savoir qu’on partage 70 % de ce que l’on est avec le reste du Canada, donc on n’est pas aussi différent qu’on pensait. Pour une entreprise comme la nôtre, installée à Montréal, mais qui fait affaire dans tout le pays, c’est pertinent. Mais il y a des différences entre le Québec et le reste du pays, et certaines incompréhensions demeurent, comme l’importance de la langue. »

Marie-Josée Gagnon, présidente, fondatrice de Casacom, relations publiques

« C’est un portrait sans complaisance des Québécois et ça, ça me plaît. Je crois que je vais donner un livre à chacun de mes employés, mais surtout distribuer la version anglaise à mes clients dans le reste du Canada ! En relations publiques, c’est évident que c’est utile de mieux connaître le public, surtout si c’est fait avec une grande indépendance d’esprit. J’aime l’originalité de la démarche et aussi le souci de parler de notre communauté. »

Christian Pichette, président et cofondateur de Brandbourg, agence de marketing, branding et design

« Un des grands mérites du livre, c’est d’être basé sur des données objectives, contrairement aux fameuses 36 cordes sensibles des Québécois, qui était intuitif. Là, on a du quantitatif. Et toute info objective est pertinente dans notre domaine. Cela dit, la mondialisation fait en sorte que bien des sociétés ne peuvent plus se permettre d’être très spécifiques, même si les nouveaux médias permettent de l’être. Donc, pour les marques locales, ce sera fort utile. Pour les marques internationales ? Pas sûr. Surtout que la communication envers les consommateurs, c’est une chose, la spécificité du marché, c’est aussi la concurrence locale, la structure de l’industrie dont on parle, etc. »

Éric Bédard, associé et directeur du bureau d’avocats Fasken, au Québec

« La connaissance du public, c’est important pour tout le monde. La connaissance du milieu, les motivations des entrepreneurs, des acteurs économiques. L’introspection, c’est utile. Tout ça va nous aider à nous comprendre nous-mêmes. Même pour les avocats, c’est essentiel parce que toute entreprise de services se doit de comprendre le monde ! Et de faire des liens. On est ancré dans le public. Et puis, ce que j’apprécie, c’est de lire sur les Québécois. Je le lis par passion pour les Québécois. »

Nicole Delorme, associée, cabinet de relations publiques National

« Connaître ta cible, et c’est ça que le livre permet, c’est crucial. Et la version anglaise est intéressante parce qu’elle vise vraiment à expliquer le Québec au reste du Canada. Va-t-on apprendre des choses qu’on ne soupçonnait pas ? Je ne peux pas le dire. Mais ce qui est clair, c’est qu’on aura des mots pour encapsuler la réalité. Parce qu’on a tendance à l’oublier, mais au Québec, il y a un style, un angle, à adopter. »

LE CODE QUÉBEC

Dominique Villeneuve

Présidente et directrice générale de l’Association des agences de communication créative

« Jamais on ne s’était repenché avec autant de profondeur sur les cordes sensibles des Québécois. Le fameux livre de Jacques Bouchard datait de 1978 ! Et il était basé à l’époque sur l’intuition, l’expérience, et il parlait de facteurs comme notre lien avec la religion. Tout a tellement changé ! Donc ce nouvel ouvrage est une lecture hyper intéressante pour les gens de politique et de publicité, et clairement un nouvel outil pour créer des campagnes adaptées au marché ici, même si c’est un portrait parfois confrontant. »

LE CODE QUÉBEC

Nicole Delorme

Associée, cabinet de relations publiques National

« Connaître ta cible, et c’est ça que le livre permet, c’est crucial. Et la version anglaise est intéressante parce qu’elle vise vraiment à expliquer le Québec au reste du Canada. Va-t-on apprendre des choses qu’on ne soupçonnait pas ? Je ne peux pas le dire. Mais ce qui est clair, c’est qu’on aura des mots pour encapsuler la réalité. Parce qu’on a tendance à l’oublier, mais au Québec, il y a un style, un angle, à adopter. »

LE CODE QUÉBEC

Christian Pichette

Président et cofondateur de BrandBourg, agence de marketing, branding et design

« Un des grands mérites du livre, c’est d’être basé sur des données objectives, contrairement aux fameuses 36 cordes sensibles des Québécois, qui était intuitif. Là, on a du quantitatif. Et toute info objective est pertinente dans notre domaine. Cela dit, la mondialisation fait en sorte que bien des sociétés ne peuvent plus se permettre d’être très spécifiques, même si les nouveaux médias permettent de l’être. Donc, pour les marques locales, ce sera fort utile. Pour les marques internationales ? Pas sûr. Surtout que la communication envers les consommateurs, c’est une chose, la spécificité du marché, c’est aussi la concurrence locale, la structure de l’industrie dont on parle, etc. »

LE CODE QUÉBEC

Gabriel Montagne

Directeur général des médias numériques chez Pages Jaunes

« On doit comprendre nos auditoires, il faut cibler le consommateur, et là, on a de nouvelles pistes, chiffrées, des données pour comprendre à qui on s’adresse. Ce qui m’a frappé ? De savoir qu’on partage 70 % de ce que l’on est avec le reste du Canada, donc on n’est pas aussi différent qu’on pensait. Pour une entreprise comme la nôtre, installée à Montréal, mais qui fait affaire dans tout le pays, c’est pertinent. Mais il y a des différences entre le Québec et le reste du pays, et certaines incompréhensions demeurent, comme l’importance de la langue. »

LE CODE QUÉBEC

GAÉTAN MORIN

Président et chef de la direction du Fonds de solidarité FTQ

« Tous les Québécois vont se reconnaître, mais aussi apprendre sur eux-mêmes, et ce livre va aider les entrepreneurs qui ont la volonté de croître. Ça prend des assises pour aller plus loin, pour découvrir nos forces et miser sur nos forces, que ce soit pour avancer en affaires, mais aussi en politique ou dans le monde de la culture. Je trouve que lire et apprendre tout cela est fabuleux. Qu’est-ce qui m’a surpris ? J’aurais cru qu’on s’identifiait plus à la culture française. »

LE CODE QUÉBEC

Marie-Josée Gagnon

Présidente fondatrice de Casacom, relations publiques

« C’est un portrait sans complaisance des Québécois et ça, ça me plaît. Je crois que je vais donner un livre à chacun de mes employés, mais surtout distribuer la version anglaise à mes clients dans le reste du Canada ! En relations publiques, c’est évident que c’est utile de mieux connaître le public, surtout si c’est fait avec une grande indépendance d’esprit. J’aime l’originalité de la démarche et aussi le souci de parler de notre communauté. »

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